12.04.2005, Lesen Sie hier den Bericht über «Casino Verband Schweiz, Zahlen und Fakten 2004 (D/F)»
Rede von Adriano Censi, Präsident des Schweizer Casino Verbandes
Falls nicht ausdrücklich darauf hingewiesen wird, dass die gesamte Branche gemeint ist, beziehen sich die Angaben auf die 18 Mitglieder des Schweizer Casino Verbandes (SCV).
Sehr geehrte Damen und Herren
Es freut mich, Sie im Namen des Schweizer Casino Verbandes zu dieser Bilanz-Medienkonferenz begrüssen zu dürfen. Wir werden einerseits auf das Branchenjahr 2004 eingehen, uns aber auch erlauben, Sie kurz darüber zu orientieren, welche Themen uns in diesem Jahr beschäftigen.
Die Schweiz ist innert kürzester Zeit zu einem ernstzunehmenden Spielbankenland geworden. Mit viel Engagement haben die Casinos in den letzten zwei Jahren erhebliche Summen investiert, rund 2'300 Arbeitsplätze geschaffen und ein bemerkenswertes Niveau in Bezug auf Spielangebot, Sicherheit und Sozialprävention erarbeitet. Dies geschah unter hohen Risiken und im Vertrauen darauf, dass die „Spielregeln“ nicht zum Nachteil der Branche geändert oder ausgelegt werden. Uns bereitet deshalb Sorge, dass das Spielbankengesetz bereits unterlaufen wird. Die grossen Schweizer Lotteriegesellschaften haben bewiesen, dass sie nicht davor zurückschrecken, Glücksspiele auf den Markt zu bringen, welche die Angebote der Spielbanken direkt konkurrenzieren. Aus unserer Sicht muss deshalb einer klaren Abgrenzung unserer Branche gegenüber den Lotterien und Wetten grösste Be- deutung zugemessen werden. Die Entscheidung der Eidgenössischen Spielbankenkommission (ESBK), ein Verwaltungsverfahren gegen die Lotterieautomaten einzuleiten und neue Geräte vorerst zu verbieten, hat uns zuversichtlich gestimmt. Auch das Einschreiten der Bundesanwaltschaft gegen „sporttip“ deutet darauf hin, dass der Bund den Lotteriegesellschaften nun genauer auf die Finger schaut. Damit wurden erste wichtige Schritte getan, um in der Schweiz eine kohärente Glücksspielpolitik sicherzustellen.
Im 2004 waren erstmals sämtliche 19 konzessionierten Spielbanken während eines vollen Jahres in Betrieb. Das bereits Ende 2003 geschlossene Casino Zermatt konnte den Betrieb trotz monatelangen Verhandlungen mit potentiellen Investoren und Übernahmepartnern definitiv nicht mehr aufnehmen. Die ESBK entzog dem Betrieb deshalb im letzten Jahr formell die Konzession. Damit sind nach dieser ersten Konzessionsphase definitiv 19 Spielbanken operativ, 7 A- und 12 B-Casinos. Davon sind 18 Spielbanken Mitglieder des Schweizer Casino Verbandes. Die Branche hat nun bis Ende 2006 Gelegenheit, sich zu konsolidieren. Danach wird der Bundesrat Bilanz ziehen und entscheiden, ob er allenfalls auf weitere Konzessionsgesuche eintreten wird.
Die noch junge Branche konnte ihren Wachstumskurs im Berichtsjahr fortsetzen. Nachdem 2003 der Bruttospielertrag mit 561 Millionen Franken im Vergleich zum Vorjahr beinahe verdoppelt werden konnte, kam es im Jahr 2004 mit einem Bruttospielertrag von insgesamt 769 Millionen Franken zu einer Steigerung um 37 %. Die 18 dem SCV angeschlossenen Spielbanken erwirtschafteten im Berichtsjahr 2004 mit 3'097 Automaten und 230 Tischen einen Bruttospielertrag von 715,8 Mio. Franken. Davon entfallen 534,3 Mio. Franken (74,65 %) auf die Glücksspielautomaten und 181,5 Mio. Franken (25,35 %) auf die Tischspiele. Bei den Tischspielen liegen die Spiele Roulette (45 %) und Black Jack (34 %) an der Spitze, gefolgt von Poker (12 %). Beim Rest handelt es sich um andere Spiele wie Punto Banco, Baccara oder Craps. Die sieben A-Casinos erzielten 466,3 Mio. Franken bzw. rund 65 %, die 11 B-Casinos 249,5 Mio. Franken bzw. rund 35 % des Bruttospielertrags. Umsatzmässig liegen bei den A-Casinos die Betriebe in Baden, Basel und Lugano an der Spitze, bei den B-Casinos die Betriebe in Mendrisio, Pfäffikon und Locarno.
Die Spielbanken durften 2004 über 4 Mio. Gäste empfangen, also rund eine Million mehr als im Jahr zuvor. Davon entfallen 2.1 Mio. auf die elf Casinos der Deutschschweiz, 0,7 Mio. auf die vier Casinos in der Romandie und 1.2 Mio. auf die drei Tessiner Casinos. Der pro Gast erzielte Bruttospielertrag liegt bei durchschnittlich 175 Franken. Die Bandbreite bewegt sich je nach Grösse und Standort der Spielbanken zwischen 90 und 250 Franken. Ende 2004 arbeiteten 2'299 Angestellte in unseren Mitgliedcasinos. Dies entspricht 2'145 Vollzeitstellen. Die Spielbanken investierten 22 Mio. Franken.
Im November 2004 legte der Bundesrat den Basisabgabesatz 2004 für die Spielbanken fest. Dabei hielt er grundsätzlich am Abgabesatz von 40 Prozent des Bruttospielertrags fest. Reduktionen gewährte er nur in speziellen Fällen, wo die Casinos aufgrund der für sie schwierigen Rahmenbedingungen noch keine angemessene Rendite erwirtschaften konnten. Für die kleinen touristischen Casinos in Davos und St. Moritz wurde der Satz auf 20 Prozent, für die vier Casinos in Courrendlin, Freiburg, Interlaken und Schaffhausen auf 35 Prozent gesenkt.
Von den insgesamt 769 Mio. Franken Bruttospielertrag kommen 48 % bzw. 370 Mio. Franken öffentlichen Interessen zu Gute: 316 Mio. Franken fliessen in den Ausgleichsfonds der AHV, 54 Mio. Franken an die Standortkantone.
----- In Französisch
Discours de M. Adriano Censi, Président de la Fédération Suisse des Casinos
Si on ne fait pas remarquer expressément que la branche totale est visée, les indications se réfèrent aux 18 membres de la Fédération Suisse des Casinos (FSC).
Mesdames et Messieurs
J’ai le plaisir de vous saluer au nom de la Fédération Suisse des Casinos pour cette conférence sur le bilan 2004 de notre Fédération. Nous parlerons, d’une part, de notre exercice 2004 et nous nous permettrons, d’autre part, de vous informer brièvement des sujets qui nous occuperont tout au long de l’année présente.
En très peu de temps, la Suisse est donc devenue un "pays à casinos" qu'il s'agit de prendre bien au sérieux. Des montants vraiment importants y ont été investis au cours des deux dernières années, avec beaucoup d'engagement aussi, créant dès lors environ 2’300 places de travail et proposant un niveau remarquable du point de vue de l'offre de jeux et de la prévention sociale. De fait, les entrepreneurs prenaient des risques élevés, espérant aussi que les "règles du jeu" ne seraient pas modifiées en cours de route ou qu'elles ne seraient jamais mal interprétées, au détriment de la branche. Or, voici déjà un premier souci: La loi sur les maisons de jeu a déjà été contournée. Les grandes sociétés de loteries suisses ont démontré, en effet, qu'elles ne craignaient pas de mettre des jeux de hasard sur le marché en faisant pour autant une concurrence directe à l'offre de jeu des casinos. Selon notre propre point de vue, il s'agit alors d'insister particulièrement sur les limites qui séparent notre branche de celle des loteries et des paris. La décision de la Commission fédérale des maisons de jeu (CFMJ) d’ouvrir une prodédure administrative contre les automates de loterie et d’interdire provisoirement l’installation de nouveaux appareils, nous a mis dans une très bonne disposition d’esprit. L’intervention du procureur fédéral contre «sporttip» signifie également que la Confédération souhaite examiner de plus près les agissements des sociétés de loterie. Il s’agit là de deux premiers pas importants dans le but d’assurer en Suisse politique cohérente en ce qui concerne les jeux de hasard.
Au cours de l’année 2004, l’ensemble des 19 casinos on été exploités pendant douze mois complets. Le casino Zermatt, fermé déjà fin 2003, n’a plus pu continuer son exploitation, malgré des pourparlers de plusieurs mois avec des investisseurs potentiels et des partenaires éventuels pour sa reprise. La CFMJ a donc retiré formellement sa concession l’année dernière. Ainsi, après cette première phase de concession, nous disposons actuellement de 19 casinos définitivement opérationnels, dont 7 casinos A et 12 casinos B. 18 casinos sont membres de la Fédération Suisse des Casinos. Notre branche pourra donc encore se consolider, avant fin 2006. Après ce délai, le Conseil fédéral va tirer un bilan et devra décider de l’entrée en matière pour d’autres demandes de concession.
La jeune branche des casinos a pu poursuivre son expansion au cours de l’exercice 2004. En 2003, le produit brut des jeux s’élevait à 561 millions de francs, ce qui signifie qu’il avait pratiquement doublé par rapport à l’année précédente. En 2004, le produit brut des jeux de toute la branche s’élève à 769 mio. de francs, ce qui représente encore un accroissement de 37%. Les 18 casinos membres de la FSC ont réalisé un produit brut des jeux de 715,8 mio. de francs, exploitant 3’097 appareils à sous et 230 tables de jeu pendant cet exercice. Ce montant se répartit comme suit: 534,3 mio. de francs (74,65 %) pour l'offre de jeux de hasard sur appareils à sous et 181,5 mio. de francs (25,35 %) pour les jeux de table. Pour les jeux de table, ce sont Roulette (45 %) et Black Jack (34 %) qui sont les plus demandés. Poker (12 %) vient de suite. En ce qui concerne le reste, il s'agit d'autres jeux comme Punto Banco, Baccara ou Craps. Les sept casinos A ont réalisé 466,3 mio. de francs, respectivement 65 % environ du produit brut des jeux. Les onze casinos B ont produit un produit brut des jeux de 249,5 millions, soit respectivement 35 % environ du total. Du point de vue du chiffre d’affaires, ce sont les entreprises à Baden, Bâle et Lugano qui sont les plus productives des casinos A. Pour les casinos B, ce sont les entreprises à Mendrisio, Pfäffikon et Locarno.
En 2004, plus de 4 millions de visiteurs se sont rendu dans les casinos, soit environ un million de plus que l’année précédente. 2,1 mio. de visiteurs se sont rendus dans les 11 casinos de la Suisse alémanique, 0,7 mio. dans les quatre casinos de la Romandie et 1,2 mio. dans les trois casinos tessinois. Le produit brut des jeux indique en moyenne 175 francs par client et par visite. L’éventail se situe entre 90 et 250 francs, selon la dimension et le lieu d’implantation des casinos. Fin 2004, 2'299 employées travaillaient dans les casinos. Cela correspond à 2'145 postes à plein temps. Les maisons de jeu ont investi plus de 22 mio. de francs.
En novembre 2004, le Conseil Fédéral a établi le taux de base de l’impôt des casinos. En principe, il a retenu le taux de base de 40 pour cent du produit brut des jeux. Des réductions n'ont été accordées que dans des cas particuliers, là où les casinos n'ont pas réalisé des rendements appropriés, en raison de conditions-cadres difficiles. Pour les petits casinos touristiques de Davos et St. Moritz, le taux a été fixé à 20 pour cent et pour les quatre casinos B de Courrendlin, Fribourg, Interlaken et Schaffhouse à 35 pour cent.
48% du produit brut des jeux de 769 mio. de francs ont été destinés aux intérêts publics: 316 mio. de francs vont au fond de compensation de l’AVS, 54 mio. de francs dans les caisses des cantons d’implantation.
Der Schweizer Casino Verband (SCV) ist die Dachorganisation der Schweizer Spielbanken.
Der Schweizer Casino Verband vertritt die Interessen der Schweizer Casinobranche und fördert den Erfahrungsaustausch zwischen seinen Mitgliedern.
Am 1. Januar 1902 gründeten sechs Kursäle den „Schweizerischen Kursaal- und Grand-Casino-Verband“. Mit dem Übergang von der alten zur neuen Spielbankengeneration und der Professionalisierung innerhalb der Branche hat der Verband seinen Namen in „Schweizer Casino Verband“ geändert.
Der Schweizer Casino Verband vertritt die Interessen der Schweizer Casinobranche und fördert den Erfahrungsaustausch zwischen seinen Mitgliedern.
Dem Verband sind 17 Spielbanken angeschlossen, die 75 % des Umsatzes der Branche repräsentieren.
Der Schweizer Casino Verband ist Mitglied bei: Schweizerischer Gewerbeverband, Schweizer Tourismus-Verband und European Casino Association ECA.
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